Akira venait d'arriver dans l'école. Il était vétu simplement : un kimono noir, des sandales et un bandana applatissant toute la parti gauche de ses cheveux, tandis que la parti droite était coiffé en hérisson et tendait vers la droite. Il avait son katana à la ceinture, et il portait deux gros sac contenant probablement ses affaires. Il se dirigea instinctivement vers la serre de combat. Il ne savais pas se que c'était, d'ailleurs il ne connaissait rien de cette endroit, mais il avait dirait-on était poussé ici. Il avait toujours était très combat. Il entra dans la pièce, et s'aperçut que cette salle ressemblait très étrangement à un dojo. Il supposa que c'était spécialement pour les combats, et un sourire apparut rapidement sur ses lèvres. Il déposa ses deux sac délicatement dans un coin de la salle. Il sorti alors ça lame de son fourreau. La lame était un peu recourbé, et la garde et le manche était d'une beauté incroyable. La lame dégageait comme une aura propre a elle-même. Dans toute l'histoire des forgerons japonais, on racontait que parmis les nombreux forgerons de talents, Kitetsu était l'un des peu a avoir crée des armes maudites. Il en éxistait peu, quatre ou cinq. Leurs noms étaient caractéristique de leurs puissance : plus proche du Shodai Kitetsu, plus puissant. Akira détenait dans ses mains le Nidai Kitetsu, le deuxième sabre le plus puissant du forgeron illustre. Il le tendit devant lui, et commença à faire des katas simples. Au court des moments, les mouvements, gestes, déplacement devenait de plus en plus difficiles. Puis, d'un coup, la lame s'enflamma et un jet de flammes s'échapa pour se diriger vers un mur. Akira tandis la main, et la flamme disparut d'un coup, dans un sombre nuage de fumée que la flammes avait produit sur son passage, comme si il avait était soufflé par un coup de vent. Akira rangea son épée dans son fourreau, et s'assit au centre de la salle. Il ferma les yeux, et lentement se souleva du sol, lévitant a quelques centimètre du sol. Il tournait lentement sur lui mains, les jambes croisé en tailleur, les bras posé sur les jamabes.